François LE GUÉ (1897-1968) : Différence entre versions
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Il est cité à l'ordre de la Brigade le 12 mai 1918 (Ordre n° 71) : ''Soldat dévoué et courageux, volontaire pour les missions périlleuses, s'est montré plein d'entrain et d'esprit de sacrifice au cours des attaques des 24 et 25 avril 1918.''<BR> | Il est cité à l'ordre de la Brigade le 12 mai 1918 (Ordre n° 71) : ''Soldat dévoué et courageux, volontaire pour les missions périlleuses, s'est montré plein d'entrain et d'esprit de sacrifice au cours des attaques des 24 et 25 avril 1918.''<BR> |
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Sommaire |
[modifier] Origine et Famille
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François LE GUÉ, dit BIGOT est né le 23 mai 1897 à Saint-Brieuc, fils de François Marie LE GUÉ et de Marie-Louise BIGOT.
[modifier] Guerre 14-18
Matricule N° 1988 au recrutement de Saint-Brieuc
Incorporé au 116e régiment d'infanterie à compter du 11 janvier 1916.
Soldat de 2ème classe.
Parti aux armées le 10 septembre 1916
Passé au 88e régiment d'infanterie le 17 novembre 1916
Il est cité à l'ordre de la Brigade le 12 mai 1918 (Ordre n° 71) : Soldat dévoué et courageux, volontaire pour les missions périlleuses, s'est montré plein d'entrain et d'esprit de sacrifice au cours des attaques des 24 et 25 avril 1918.
Blessé le 03 juillet 1918, plaie de la poitrine et côté gauche par balle, il est évacué.
Médaille militaire (rang du 17 juillet 1918) : Grenadier d'élite, très brave et d'un dévouement à toute épreuve, a été grièvement blessé à son poste de combat au cours des dernières opérations.
Croix de guerre avec palme - 1 étoile de bronze.
[modifier] Après la guerre
François LE GUÉ épouse Marie Joseph LIORZOU le 28 novembre 1918 à Plourivo où il résidera par la suite.
Il est décédé en 1968 à Kérity
[modifier] Sources
--Jylaigre (discussion) 7 janvier 2014 à 10:02 (CET)