Eugène Marie LE MÉHAUTÉ (1897-1975) : Différence entre versions

De Les Côtes-d'Armor dans la Grande Guerre
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Blessé le 29 octobre 1918 par E.V. (éclat d’obus) à [[Bannogne]] ([[Ardennes]]), plaie du pied droit. Cité % (ordre) du Régiment n° 667 du 11 novembre 1918 :
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''« Soldat brave et courageux : le 29 octobre 1918 s’est résolument porté à l’attaque de la position ennemie sous le feu extrêmement violent des mitrailleuses, s’est blessé au cours de la progression. »''
 
''« Soldat brave et courageux : le 29 octobre 1918 s’est résolument porté à l’attaque de la position ennemie sous le feu extrêmement violent des mitrailleuses, s’est blessé au cours de la progression. »''
 
Croix de Guerre avec Etoile de bronze.
 
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C’est le 25 octobre 1918 que le régiment devait cueillir ses plus beaux lauriers ; il a reçu pour mission d’enlever une partie de la « Hunding Stellung », position ennemie formidablement organisée et protégée par d’épais réseaux de fil de fer.
 
C’est le 25 octobre 1918 que le régiment devait cueillir ses plus beaux lauriers ; il a reçu pour mission d’enlever une partie de la « Hunding Stellung », position ennemie formidablement organisée et protégée par d’épais réseaux de fil de fer.
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Sommaire

[modifier] Origine et Famille

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CENTRE GÉNÉALOGIQUE DES CÔTES D'ARMOR
Contact
Adresse : 3 bis rue BEL ORIENT
22000 SAINT-BRIEUC
Téléphone : 02 96 62 89 00
Pictos contact.png Courriel : secretariat@genealogie22.bzh
Cg22 centre.png Site Web : http://www.genealogie22.bzh

LE MÉHAUTÉ Eugène Pierre Marie est né le 15 novembre 1897 à Plouagat, fils de Jean-François, 34 ans, laboureur et de Marie-Françoise Le FOL, 24 ans ménagère, demeurant à Guermonio à Plouagat, mariés à Plouagat, le 14 janvier 1897. (Jean-François est veuf de Marie-Reine QUERO). Eugène Pierre Marie était mon grand-père.

 
LE MÉHAUTÉ François
(1830 - 1891)
 
HILLION Marie Jeanne
(1834 - 1897)
 
 
LE FOL Jean
(1843 - ?)
 
PEDRON Marie Françoise
(1838 - ?)
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
LE MÉHAUTÉ Jean François
(1863 - 1913)
 
 
 
 
 
 
LE FOL Marie Françoise
(1873 - ?)
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
LE MÉHAUTÉ Eugène Pierre Marie
(1897 - 1975)



[modifier] Recensement militaire

Eugène Pierre Marie est inscrit sous le n° 52 de la liste du canton de Plouagat et classé dans la 1ère partie de la liste en 1915.

[modifier] Guerre 1914-1918

Eugène Pierre Marie a été incorporé le 10 janvier 1916. Parti aux armées le 5 novembre 1916, il est passé au 94e régiment d'infanterie le 17 novembre 1916. Il est passé au 95e régiment d’infanterie le 25 avril 1917. Blessé, il a été évacué le 29 octobre 1918. Il est passé dans la réserve de l’armée active le 7 janvier 1919 et placé en congé illimité de démobilisation par le 48e régiment d'infanterie le 2 septembre 1919. Il se retire à Plouagat, puis à son changement de résidence (Evreux), il passe, en 1920, au 28e régiment d'infanterie . A la suite d’un nouveau changement de résidence (Boulay-Morin), le 9 février 1928, il passe à la subdivision d’Evreux.

Il a obtenu un certificat de bonne conduite. Ses campagnes : Contre l’Allemagne : A l’intérieur(Dépôt) du 10 janvier au 4 novembre 1916. Aux armées du 5 novembre 1916 au 1er novembre 1918. A l’intérieur du 2 novembre 1918 au 1er septembre 1919.

Blessures, citations, décorations, etc. Blessé le 29 octobre 1918 par E.V. (éclat d’obus) à Bannogne (Ardennes), plaie du pied droit. Cité à l'ordre du régiment (n° 667 du 11 novembre 1918) : « Soldat brave et courageux : le 29 octobre 1918 s’est résolument porté à l’attaque de la position ennemie sous le feu extrêmement violent des mitrailleuses, s’est blessé au cours de la progression. » Croix de Guerre avec Etoile de bronze.

[modifier] Après la Guerre

Il a terminé sa carrière civile à la base aérienne d’Evreux.

Le jour de sa blessure : extrait du 95e régiment d’infanterie. Le mois d’octobre a été pour le 95e, un des plus glorieux de toute la guerre. C’est le 25 octobre 1918 que le régiment devait cueillir ses plus beaux lauriers ; il a reçu pour mission d’enlever une partie de la « Hunding Stellung », position ennemie formidablement organisée et protégée par d’épais réseaux de fil de fer. Au cours des opérations des 25 et 29 octobre, le 95e a capturé 808 prisonniers, 10 canons et une centaine de mitrailleuses et d’engins de tranchée, un matériel énorme.

[modifier] Sources

Salle virtuelle du 22
Historique : ancestramil
--Jylaigre (discussion) 4 mars 2015 à 17:08 (CET) Publié à la demande de Marie-France Robelin

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