Jean Baptiste BRUNARD (1890-1971)

De Les Côtes-d'Armor dans la Grande Guerre
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Origine et Famille

 
BRUNARD Jean François
(1806-1874)
 
LE HOUX Mathurine Servane
(1813-1875)
 
 
COULOMBEL Jean-Marie
(1844-1871)
 
GUILLEMOT Françoise
(1843-????)
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
BRUNARD Prudent Clément Pierre Marie
(1855-1907)
 
 
 
 
 
 
COULOMBEL Marie Louise Virginie Françoise
(1869-1908 )
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
BRUNARD Jean Baptiste Joseph Prudent
(1890-1971)




Jean Baptiste BRUNARD est né le 24 novembre 1890 à Yvignac, au foyer de Prudent Clément Pierre Marie (1855-1907) et de Marie Louise Virginie Françoise COULOMBEL (1869-1908), mariés le 20 mai 1889 à Trédias.
Prisonnier de guerre en Suisse en 1918, il reviendra dans ses foyers en 1919 et décèdera à Yvignac le 2 septembre 1971. Avec son épouse : Victoire Eugénie Marie Jeanne BRUNARD, ils auront deux enfants Valentin (1920-2001) et Marie (1921 -????).

Image N°01
Image N°01b

Guerre 14-18

Il est de la classe 1910, matricule 1737 au recrutement de Saint-Malo. Soldat de 1e classe - 10e compagnie
Il a participé aux combats (Image N°01) dans le Pas de Calais, la Marne, Argonne, la Champagne, Verdun, la Somme, l'Aisne, le Chemin des Dames, la Cote 304 à la Mort-Homme.

Cité à l'ordre du régiment le 25 septembre 1916 (Image N°02) : Très bon soldat, à la compagnie depuis 17 mois, s'est particulièrement distingué les 9 et 10 avril 1916 à la cote 304 à la Mort-Homme devant Verdun assurant de façon parfaite la liaison entre sa compagnie et le bataillon d'un secteur violemment bombardé
Cité une seconde fois le 16 avril 1917 : La 10e Cie est envoyée à son tour pour contre attaquer après avoir été avertie du danger qui la menace sur son flanc gauche ; elle exécute son mouvement d'aussi brillante manière que la 11e Cie, mais est obligée de s'arrêter à hauteur de cette dernière. Un dernier effort est tenté par la 10e Cie à la nuit. Pendant toute la journée un barrage violent de tout calibre a été maintenu par les Allemands sur toutes les voies d'accès au secteur
Il sera blessé 2 fois ; à la joue droite et à la jambe droite. Il lui a été décerné le certificat pour le port de deux chevrons et le droit au port du ruban avec étoile émaillée rouge des blessés de guerre et au port de la fourragère (images N°03 - N°04).
Il sera fait prisonnier en 1918 et interné au camp de Gryon en Suisse.

Image N°02
Image N°03
Image N°04

Sources

Documents familiaux


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